J’ai tout quitté pour apprendre la Capoeira au Brésil

J’ai tout quitté pour apprendre la Capoeira au Brésil

(Et voici ce que j’ai découvert sur le corps, la mobilité… et moi-même)

Oops, je l’ai refait…

Je t’écris depuis Curitiba, au Brésil, où je viens d’arriver il y a trois jours.
Cela fait maintenant plus de trois ans que j’ai quitté la France, et surtout mon ancienne vie, pour vivre quelque chose de plus grand, plus aligné, plus profond.

Ce chemin, je l’ai emprunté d’abord pour me libérer de l’alcool, que j’avais surconsommé pendant la moitié de ma vie.
Mais très vite, c’est devenu bien plus que ça : une quête de sens.


Un voyage à travers les disciplines du mouvement

J’ai appris la boxe thaïe en Thaïlande.
J’ai plongé dans le yoga en Inde.
Et aujourd’hui, je suis au Brésil pour apprendre la Capoeira, à sa source.

À chaque fois que je commence à me sentir à l’aise dans une discipline, je repars. Je quitte tout. Je cherche l’inconnu. C’est mon chemin : me mettre à nu, recommencer, apprendre, tomber, me relever.

Mais derrière cette quête, il y a une chose constante : le mouvement.
C’est à travers lui que je me transforme.


Pourquoi la Capoeira ?

Parce qu’elle incarne tout ce que je cherche :

  • La fluidité
  • L’expression du corps
  • L’art de s’adapter à l’autre
  • La connexion à l’instant

Mais aussi : la musique, la culture, la vibration, la communauté.

Et pourtant… dès mes premières séances ici, une vérité m’a frappé de plein fouet.


Tu ne peux pas bien pratiquer la Capoeira avec un corps verrouillé

La Capoeira demande un niveau de mobilité exceptionnel, bien au-delà de ce qu’on croit :

  • Des hanches ouvertes pour les coups de pied circulaires comme la meia-lua, armada, queixada
  • Des épaules souples et stables pour les macaco, bananeira, au
  • Une colonne mobile et forte pour les bascules, les esquivas, les transitions au sol
  • Des chevilles et poignets solides pour les appuis, les mouvements bas, les inversions

Et là, j’ai compris que le frein à ma progression, ce n’était pas mon niveau technique.
C’était mon corps.

Mon manque de mobilité m’empêchait de jouer librement.


Tu te reconnais ?

  • Tu as du mal à kicker haut ?
  • Tu manques de fluidité dans la ginga ?
  • Tu ressens des douleurs aux hanches, aux genoux, aux poignets ?
  • Tu es bloqué dans les mouvements au sol ou en inversion ?
  • Tu sens que tu pourrais donner plus… mais ton corps ne suit pas ?

Tu n’es pas seul.

Et surtout : ce n’est pas une fatalité.


Ce que ne te dira pas ton professeur de Capoeira

La plupart des profs insistent sur la technique. Et c’est normal.

Mais si tu ne peux pas exécuter certains mouvements, ce n’est pas un manque de technique.
C’est un manque de préparation articulaire.

Tes hanches sont verrouillées ?
Tu n’as pas de force dans l’amplitude ?
Ton système nerveux bloque certains gestes pour te protéger ?

👉 Aucun cours de Capoeira ne peut régler ça.
Tu as besoin d’un travail ciblé, progressif, spécifique.


✅ J’ai conçu un programme pour ça

FORCE & SOUPLESSE – 8 SEMAINES

🧠 Pour te libérer des blocages physiques qui freinent ta Capoeira

Un programme en ligne pour :

  • Débloquer tes hanches
  • Renforcer tes articulations dans toute l’amplitude
  • Gagner en fluidité et en souplesse active
  • Prévenir les blessures (chevilles, genoux, poignets)
  • Exprimer pleinement ton jeu, sans contrainte

📅 4 séances par semaine
⏱️ 30 minutes chacune
🏠 À faire chez toi, sans matériel
🎯 Conçu spécialement pour les pratiquants de sports de mouvement (Capoeira, danse, arts martiaux…)

✨ En quelques semaines, tu sentiras ton corps plus libre, plus mobile, plus expressif.
Et ta Capoeira prendra une toute nouvelle dimension.

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💭 Un dernier mot

Je ne sais pas où ce chemin me mènera.
Mais je sais que tant que je suis en mouvement, je suis vivant.
Et si je peux t’aider, toi aussi, à remettre ton corps en mouvement, à débloquer ce qui t’empêche de t’exprimer… alors tout ce voyage aura encore plus de sens.

Axé.

Une réponse à “J’ai tout quitté pour apprendre la Capoeira au Brésil”

  1. Avatar de Viviane Nicolet Golaz
    Viviane Nicolet Golaz

    Wouah c’est beau et plein de bon sens, tes propos. Je me rends compte à quel point j’avais abandonné l’entretien de mon corps. C’est ma conclusion face à une cassure de rotule en glissant sur un sol légèrement mouillé. Sûrement qu’avec un corps mieux entretenu, je ne me serais pas cassé. Et puis toute cette attente de pouvoir rebouger, cet espoir d’avancer à nouveau, m’a changé mon état d’esprit. Sans vraiment chercher, je suis tombé par chance, sur une de tes vidéo et j’ai vu de la beauté, une expression autre que les mots, et là j’ai eu envie de me reprendre en main. La discipline a suivi, la progression aussi, j’ai juste à travailler sur la gestion de la douleur, sur me féliciter de la progression et de la discipline et continuer ce chemin un peu héroïque tout de même.
    Bonne journée Julien et mille mercis pour transmettre ton savoir, soutenir l’effort er la persévérance. J’ai plaisir à cheminer avec toi, même si la difficulté est bien présente

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